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Sollers est mort, vive Sollers !
Lorsque Femmes est sorti, Philippe Sollers mettait fin à une longue phase de nouveau romancier, avec son épilogue le plus abstrait Paradis écrit sans aucune ponctuation, dans un continuum d’écriture laissant courir le texte dans un mouvement infini, dont la...
Il faut laisser la colère de Dieu à Dieu
Quand un brûlant sentiment de colère nous saisit étant donné l’injustice dont ont fait l’objet ou dont une victime ou une communauté de victimes font l’objet, la faille, l’abîme qui nous sépare de ce monde injuste exigerait presque que l’on s’en remette à Dieu, dans un aveu de totale impuissance pour corriger l’humiliation, réparer la blessure.
Psychanalyste, art et politique article – De la parole performative – Think tank de la Fondation Mercure
Indépendamment de ce que peuvent seriner ses détracteurs, en parlant de son livre noir ou encore du crépuscule d’une idole (Onfray), la psychanalyse atteindra bien son siècle et demi d’existence et la naissance de cette méthode, …
La colère de Dieu
Étrange titre, peut-être trop présomptueux pour un polar « métaphysique » ?
Qu’on ne s’y trompe pas, je fais la part des choses, si l’on parle de Dieu, on rate toujours quelque chose, c’est encore affaire humaine.
Quand on parle de Dieu, finalement, et en l’occurrence de sa colère, on ne peut se référer qu’aux Textes révélés qui nous traversent (que l’on soit athée ou pas) depuis 2000 ans pour les Chrétiens, depuis 1400 ans pour les Musulmans... Et on voyage, à la manière de ce philosophe quelque peu cynique et déjanté, German Sokolsky entre Bruxelles, Londres et Ouarzazate... Ou encore comme ce héros tragique, médium très puissant, Silas, au travers des 22 lames majeures du tarot de Marseille ou encore comme ce jésuite alcoolique au passé libertin, Jorge, qui interroge la tradition qui l’habite depuis le début de son sacerdoce, qui décortique, questionne et critique férocement l’Eglise catholique et apostolique dont il se dit encore le représentant.
À propos de Jean Noël
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“Lucifer” (La colère de Dieu)
Dans votre récit, la figure du mal est incarnée par un financier qui se double d’un assassin !
Lucifer serait-il habillé en costume cravate et manipulerait-il les Bourses internationales du haut du 62ème étage d’une tour à Wall Street ?
Mon amour pour la transgression des normes civilisationnelles
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La place du féminin dans mon roman “La colère de Dieu”
Votre livre fait une large place à la question du féminin au sein du religieux. Vous nous parlez longuement et de manière passionnante des apparitions très étranges de la Vierge Marie au Portugal en 1917 ainsi que du miracle du soleil qui s’y produisit (soleil que l’on retrouve en première de couverture de votre roman).
Vous nous relatez également le parcours de la jeune Fatima (dont le prénom est celui de la ville des apparitions) qui effectue une danse pour le soleil faisant écho à la danse du soleil de 1917.
À l’instar de Carl Gustav Young et de certains théologiens modernistes allemands, belges et hollandais, tentez-vous de nous présenter un modèle de Dieu dont la féminité soit consubstantielle ?
Et, d’un point de vue analytique lacanien, n’êtes-vous pas occupé à remettre en cause l’imaginaire phallique lié à la Transcendance de Dieu ?
On parle de La colère de Dieu dans la presse
L’auteur de ce premier roman, « La colère de Dieu », Jean Noël (Editions Jets d’Encre), est un philosophe. C’est d’ailleurs lui qui a créé les « Cafés philosophiques de Belgique ». Nous découvrons avec bonheur dans cet ouvrage un regard profond et amoureux sur Bruxelles. On suit une intrigue très réaliste dans le contexte de notre vie actuelle. On y aborde la religion, le mal, le vivre-ensemble. Comme il s’agit de médium, les chapitres ne sont pas numérotés mais indiqués, pour la première partie, en cartes du Tarot : Le Bateleur, la Papesse, l’Impératrice, etc. L’écriture est vivante et le récit vraiment passionnant.